Panorama des projets coopératifs au sein de l’ACCR

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L’Association des Centres culturels de rencontre, dont le Château de Goutelas est membre depuis 2015, est heureuse d'annoncer la publication du panorama des projets coopératifs au sein du réseau !

Parmi les engagements que partagent les membres de l’ACCR, la question de la construction avec les habitant.es et les usager.es des sites de récits pluriels et d’une mémoire inclusive anime l’ensemble des équipes. En rassemblant des professionnel·le·s, des artistes et les habitant·e·s pour monter des projets plus horizontaux, le réseau a pour objectif de permettre aux habitant·e·s, dans leur diversité, d’interroger les patrimoines et leur usage journalier. En imaginant des récits alternatifs et inclusifs autour des patrimoines, récits prenant en compte l’ensemble des expériences vécues, et par le développement et l’animation de communautés patrimoniales, le réseau envisage les patrimoines comme vecteurs de collectif et de cohésion sociale dans les territoires.

Dans cet esprit, l’ACCR a souhaité donner à voir certains projets portés par les membres qui incarnent cette volonté de dialogue et de coopération. Ainsi, le panorama des projets coopératifs de l’ACCR revient à la fois sur l’engagement de l’association dans la mise en œuvre d’un cadre d’action propice au respect des droits culturels, notamment par le biais d’une formation de formateurs initiée en 2023 avec la coopérative des Oiseaux de Passage, sur les relations avec le réseau francophone de Faro qui œuvre pour une appréhension et une application des principes de la Convention de Faro, ainsi que sur actions initiées par les membres du réseau et co-construites avec les acteurs de leur territoire respectif. Se côtoient ainsi parole des équipes des sites, parole des habitant.es ayant pris part au projet, parole des artistes et éclairages plus théoriques issus de la réflexion collective du groupe ayant suivi ladite formation.

Découvrez parmi les projets présentés la "balade matrimoniale" portée par Goutelas fin 2022, qui s'inscrit dans une démarche plus large de valorisation d'une "moitié oubliée" de l'histoire du château, celle des femmes qui ont contribué à sa restauration jusqu'au centre culturel actuel.

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